Récit autobiographique Parmi ces témoignages, celui de l’incendie du Gœtheanum est sans doute un des plus saisissants. La vénération que ce jeune homme put ressentir pour l’édifice de Dornach et la richesse de son observation en font aussi un témoignage de première importance.
Heinz Müller, sans parler de clairvoyance à son propre sujet, laisse bien entendre qu’il était un grand intuitif ; sans parler vraiment de réincarnation, il évoque des époques de l’humanité (les couvents, Éphèse) de façon assez intense pour qu’on imagine son être présent en ces temps. Traduction : François Gautier 198 pages, 13×20 broché